Le fonçage à l'arc est une forme de technique sans tranchée permettant de créer rapidement et en toute sécurité un passage le long ou sous les infrastructures souterraines existantes, telles que les câbles et les pipelines. Brouwer Boogzinkeren maîtrise cette technique comme aucune autre et grâce au logiciel de MyCumulus est le profil de plomb immédiatement disponible sous forme numérique. 

La technique d'enfoncement à l'arc est basée sur des tiges d'acier pré-pliées qui sont enfoncées dans le sol sous un certain rayon à l'aide d'une machine hydraulique. « Le gros avantage de cette technique est que nous atteignons rapidement une grande profondeur, là où il n'y a pas d'autres câbles ou tuyaux », explique René Brouwer de Brouwer Boogzinkeren. « C'est aussi une technique relativement rapide qui assure un passage sans entrave du trafic, des accotements, des revêtements et des murs de quai non perturbés. Le fonçage à l'arc peut être effectué dans presque tous les types de sol et en toutes circonstances.

TROIS ÉQUIPES
Brouwer Boogzinkeren est une entreprise avec trois équipes "sur le terrain", qui fabriquent des plombs dans tout le pays comme tubes de gainage pour la fibre optique, le gaz, l'électricité, l'eau, etc. « En fonction de la distance à franchir, nous composons le jeu d'arches et déterminons le rayon des tiges. Nous pulvérisons ensuite de l'eau ou un mélange de bentonite sous grande pression à travers la tête de la tige, qui est à chaque fois prolongée avec des segments pré-cintrés de 3 mètres. Cela crée un couloir net (arc) entre les points d'entrée et de sortie. Une fois arrivés au point de sortie, un tuyau en PE est attaché à la tige et nous rétractons l'ensemble d'arc, laissant derrière nous un tuyau de protection en forme d'arc.

FLUX DE TRAVAIL
Brouwer Boogzinkeren utilise l'équipement de marXact pour la mesure numérique du plongeur d'arc. "Nous utilisons MyCumulus pour enregistrer ces données. C'est le logiciel le plus convivial pour nous", déclare Brouwer. « Il est important pour nos gars sur le terrain qu'ils puissent partager leurs données rapidement et de manière adéquate. Presque tout est déjà prédéfini dans MyCumulus, de sorte que seul un nombre limité de données doivent être saisies dans le champ, le reste se fait automatiquement. Nous avons configuré l'ensemble du flux de travail dans le logiciel sous forme de formulaires, qui sont immédiatement enregistrés dans le "cloud" une fois terminés. Depuis six mois, il existe également une connexion avec Pythagoras, qui récupère toutes les données de MyCumulus, de sorte qu'un profil de plomb numérique est immédiatement disponible. Avant même que nos gars ne soient de retour à la maison, le rapport complet a déjà été envoyé du bureau au client. Cela fonctionne très bien.

Cet article a été initialement publié dans le magazine GWW